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Latest Articles

  • Togo president must resign immediately - Gambian Foreign Minister

    Togo’s President Faure Gnassingbe should resign immediately and the African Union and West African regional bloc ECOWAS should persuade him to step down, Gambia’s Foreign Minister Ousainou Darboe told Reuters.

    Darboe’s comments are an early sign that opinion is shifting against Gnassingbe who took power in 2005 on the death of his father who ruled from 1967.

    The West African country faces a political crisis in which at least ten have died since August. The opposition are demanding the immediate resignation of the president in a bid to end what they term the Gnassingbe dynasty.

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  • WHO cites Zimbabwe record as outrage grows over Mugabe honour

    The World Health Organization on Saturday cited Zimbabwe's anti-tobacco record and efforts against non-communicable diseases as justifications for making President Robert Mugabe a "goodwill ambassador", as International criticism of the move mounted.

    The UN health agency, led since July by former Ethiopian health minister Tedros Adhanom Ghebreyesus, has asked Mugabe to serve in the role to help tackle NCDs like heart attacks, strokes and asthma across Africa.

    The appointment announced earlier this week in Uruguay has triggered confusion and anger by activists who note that Zimbabwe's healthcare system, like many of its public services, has collapsed under Mugabe's authoritarian regime.

    Britain on Saturday joined the widening chorus of critics, calling the decision "surprising and disappointing, particularly in light of the current US and EU sanctions against him."

    "We have registered our concerns with WHO Director General Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus", a foreign office spokesperson said in an email.

    Mugabe's "appointment risks overshadowing the work undertaken globally by the WHO on Non-Communicable Diseases."

    Zimbabwean activist and human rights lawyer Doug Coltart said on Twitter that a "man who flies to Singapore for treatment because he has destroyed Zimbabwe's health sector is WHO's goodwill ambassador."

    Mugabe, who is 93 and has been in power since 1980, is in increasingly fragile health and makes regular trips abroad for medical treatment.

    UN Watch, a group primarily known for defending Israel at the world body, called the decision "sickening."

    "Amid reports of ongoing human rights abuses, the tyrant of Zimbabwe is the last person who should be legitimized by a UN position of any kind,", the group's executive director Hillel Neuer said in a statement.

    Speaking in Uruguay's capital this week, Tedros had hailed Zimbabwe as "a country that places universal health coverage and health promotion at the centre of its policies to provide health care to all."

    WHO on Saturday pointed to Zimbabwe's record and Tedro's desire to engage senior politicians.

    "Dr. Tedros has frequently talked of his determination to build a global movement to promote high level political leadership for health," spokesman Christian Lindmeier said in an email.

    "Zimbabwe has ratified the WHO FCTC (Framework Convention on Tobacco Control) in 2014 and the government has launched a levy fund for NCDs to generate revenues for health promotion, including NCD prevention and control," he added.

    Contacted by AFP in Geneva, WHO's communications department said it was unable to comment further or respond to widening concerns about Mugabe's role.

    UN agencies often name high profile personalities as goodwill ambassadors to draw attention to their work, including actress Angelina Jolie with the refugee agency UNHCR.

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  • Obama et Bush critiquent Donald Trump

    Les anciens présidents américains, Barack Obama et George W Bush, ont émis leurs inquiétudes concernant le climat politique actuel aux Etats-Unis.

    Les Américains doivent envoyer un message au monde en rejetant une politique de division, une politique de peur. Nous ne pouvons pas avoir encore les vieilles politiques de division que nous avions il y a des siècles. La politique actuelle... on croyait en avoir fini il y a longtemps... Les gens ont 50 ans de retard ! On est au 21eme siècle, pas au 19eme
    Barack Obama, Ancien président des Etats-Unis

    M. Obama a appelé les américains à rejeter la politique de "division" et de peur alors M. Bush a critiqué "le harcèlement et le préjudice" dans la vie publique.

    Les deux présidents se sont exprimés séparément et n'ont en aucun moment cité le nom de Donald Trump qui n'a pas encore réagi à ces critiques.

    Traditionnellement, les anciens présidents américains ne font pas de commentaires publics sur leurs successeurs.

    En quittant la Maison Blanche, Barack Obama avait promis de respecter ''pour un temps'' cette courtoisie vis-à-vis de M. Trump comme M. Bush l'avait fait pour lui.

    Image captionTraditionnellement, les anciens présidents américains ne font pas de commentaires publics sur leurs successeurs.

    Il a brisé le silence au New Jersey pour s'exprimer sur la volonté de Donald Trump de faire abroger l'Obamacare, sur "son projet controversé d'interdiction de voyage" visant majoritairement des pays musulmans et sur le retrait américain des Accords de Paris sur le Climat.

    A New York, George Bush a déploré la dégradation du discours par la cruauté banalisée.

    A certains moments, on a l'impression que les forces qui nous divisent sont plus fortes que celles qui nous unissent. Nos débats se détériorent à l'aune d'une cruauté nonchalante Georges Bush, Ancien Président des Etats-Unis

    "Nous avons vu le nationalisme se dénaturer en nativisme, et nous avons oublié le dynamisme que l'immigration a toujours apporté à l'Amérique. Nous perdons confiance dans l'économie de marché et le commerce international, en oubliant que les conflits, l'instabilité et la pauvreté sont les conséquences du protectionnisme"

    Selon Georges Bush, l'Amérique observe le retour des idées isolationnistes, en oubliant que la sécurité de l'Amérique est menacée par le chaos et le désespoir frappant des lieux distants où terrorisme et épidémies, gangs et trafics de drogue tendent à émerger".

     

    Auteur: bbc - BBC-Afrique

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  • Obama et Bush critiquent Donald Trump

    Les anciens présidents américains, Barack Obama et George W Bush, ont émis leurs inquiétudes concernant le climat politique actuel aux Etats-Unis.

    Les Américains doivent envoyer un message au monde en rejetant une politique de division, une politique de peur. Nous ne pouvons pas avoir encore les vieilles politiques de division que nous avions il y a des siècles. La politique actuelle... on croyait en avoir fini il y a longtemps... Les gens ont 50 ans de retard ! On est au 21eme siècle, pas au 19eme
    Barack Obama, Ancien président des Etats-Unis

    M. Obama a appelé les américains à rejeter la politique de "division" et de peur alors M. Bush a critiqué "le harcèlement et le préjudice" dans la vie publique.

    Les deux présidents se sont exprimés séparément et n'ont en aucun moment cité le nom de Donald Trump qui n'a pas encore réagi à ces critiques.

    Traditionnellement, les anciens présidents américains ne font pas de commentaires publics sur leurs successeurs.

    En quittant la Maison Blanche, Barack Obama avait promis de respecter ''pour un temps'' cette courtoisie vis-à-vis de M. Trump comme M. Bush l'avait fait pour lui.

    Image captionTraditionnellement, les anciens présidents américains ne font pas de commentaires publics sur leurs successeurs.

    Il a brisé le silence au New Jersey pour s'exprimer sur la volonté de Donald Trump de faire abroger l'Obamacare, sur "son projet controversé d'interdiction de voyage" visant majoritairement des pays musulmans et sur le retrait américain des Accords de Paris sur le Climat.

    A New York, George Bush a déploré la dégradation du discours par la cruauté banalisée.

    A certains moments, on a l'impression que les forces qui nous divisent sont plus fortes que celles qui nous unissent. Nos débats se détériorent à l'aune d'une cruauté nonchalante Georges Bush, Ancien Président des Etats-Unis

    "Nous avons vu le nationalisme se dénaturer en nativisme, et nous avons oublié le dynamisme que l'immigration a toujours apporté à l'Amérique. Nous perdons confiance dans l'économie de marché et le commerce international, en oubliant que les conflits, l'instabilité et la pauvreté sont les conséquences du protectionnisme"

    Selon Georges Bush, l'Amérique observe le retour des idées isolationnistes, en oubliant que la sécurité de l'Amérique est menacée par le chaos et le désespoir frappant des lieux distants où terrorisme et épidémies, gangs et trafics de drogue tendent à émerger".

     

    Auteur: bbc - BBC-Afrique

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  • Six years since Muammar Gaddafi was killed

    October 20, 2011 was the day on which longtime Libyan leader, Muammar Gaddafi, was deposed. Six years on, news about the north African country has been a mixture of chaos and anarchy despite global efforts to put it back on track.

    Six years after he was captured and killed in his home town of Sirte, we look at some highlights of his reign and present a dozen pictures that chronicle his time as leader of Libya.

    Local rebel groups were aided by western forces, specifically, the North Atlantic Treaty Organization (NATO) to overthrow the man who had ruled Libya for close to five decades.

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